À l’occasion des soixante ans de partenariat entre l'AFD et le Niger, un recueil et une exposition retracent cette aventure unique et donnent à voir des images rares, mémoire de notre histoire commune.

1958-2018 : l’AFD accompagne le Niger depuis six décennies. Eau potable, énergie, éducation mais aussi santé, transport, inclusion financière, industrialisation, gouvernance, développement urbain et des territoires ruraux… autant de secteurs où l’AFD s’emploie à améliorer le quotidien des populations. 

Soixante années d’activité aux côtés de nos partenaires nigériens avec qui nous œuvrons au jour le jour pour tisser des liens, bâtir des ponts, (re)construire des vies. À ce jour, 600 millions d’euros – dont 120 millions pour la seule année 2017 – ont été engagés au bénéfice des villes et des zones rurales.  

Soixante ans de partage à travers une centaine de programmes au bénéfice des Nigériens revus sous le zoom d'Ollivier Girard : par le prisme de clichés d’hier et d’aujourd’hui, le photographe esquisse le retour aux origines d’une histoire en commun. Au fil des images, véritables témoignages historiques, le Niger se dessine, grandit et se développe. Nous sommes fiers d’y contribuer.

 


 

Niger, 60 ans
Niger, 60 ans
Le temps des infrastructures
L’AFD, autrefois Caisse centrale de coopération économique, commence à accompagner le Niger en 1958 par la construction d’infrastructures électriques et d’alimentation en eau potable pour la capitale Niamey.
Niger, 60 ans
Niamey prend du volume
En 1992, la Caisse centrale de coopération économique devient la Caisse française de développement. Elle finance les investissements d’extension de la capitale, dont certaines artères pavées comme celles des quartiers Bosso ou Malibero.
Niger, 60 ans
L'enjeu des transports
Dans les années 1960, la Caisse centrale de coopération économique accroît son soutien à la modernisation du Niger et de son réseau de transports, dont le tramway de Niamey.
Niger, 60 ans
Priorité à l'éducation
La Caisse française de développement devient l’Agence française de développement (AFD) en 1998. Depuis les années 2000, celle-ci finance les secteurs sociaux, en particulier celui de l’éducation. Sans éducation, pas de paix ni d’avenir pour la jeunesse.
Niger, 60 ans
Secteurs industriels en développement
Au cours des années 1970, la Caisse centrale de coopération économique prend une bonne part dans le financement du développement des secteurs industriels, illustré par l’installation de la Nitex, devenue la Sonitextil.
Niger, 60 ans
L'eau et l'énergie au cœur de l'action
Outre l’éducation, les engagements les plus importants de l'AFD se font en faveur des investissements dans les secteurs de l’eau et de l’énergie. Sans eau, pas d’agriculture ni de sécurité alimentaire. Parmi ces investissements, l’usine de Goudel et de nombreux châteaux d’eau à Niamey, dont ceux de Yantala (ci-dessus).
Niger, 60 ans
Investissements dans les télécoms
La Caisse centrale de coopération économique diversifie son soutien aux investissements du Niger à la fin des années 1970, en particulier dans les télécommunications avec l’extension des réseaux hertzien et de télévision, jusque dans les écoles à l’époque.
Niger, 60 ans
L’énergie, l’avenir durable
Sans énergie, pas de développement économique et social. L’AFD appuie la Société nigérienne d'électricité (Nigelec) pour augmenter ses capacités de production et de distribution, notamment en secteurs péri-urbain et rural.
Niger, 60 ans
Agriculture et élevage
La diversification du soutien de la Caisse centrale de coopération économique aux secteurs productifs du Niger se poursuit dans les années 1980, en particulier dans les secteurs de l’agriculture et de l’élevage.
Niger, 60 ans
Développement économique
En 1980, la Caisse centrale de coopération économique finance la construction du complexe hôtelier Gaweye de Niamey.