sécurité alimentaire et la résilience des populations vulnérables.
Les Chittagong Hill Tracts, formés de collines riches en ressources naturelles, sont situés dans la zone frontalière sud-est du Bangladesh. Cette région isolée, où cohabitent bengalis et communautés autochtones, est marquée par la pauvreté, la dégradation de l’environnement et les effets du changement climatique.
C’est dans ce contexte que le Secours Catholique-Caritas France et Caritas Bangladesh s’associent à des OSC et instituts de recherche pour améliorer la sécurité alimentaire et la résilience de 2300 familles vulnérables dans trois districts.
Pour ce faire, le projet :
- forme, équipe et facilite les échanges entre paysans pour accompagner la transition agroécologique
- promeut et diffuse des pratiques de gestion durable des ressources naturelles et de résilience face au changement climatique inspirées des traditions des peuples autochtones
- renforce l’accès des populations autochtones aux services collectifs et au dispositif d’accès à la terre
- et développe une coopération globale autour de la recherche et du développement de l’agroécologie.
Fundada en 1946, la organización Secours Catholique tiene un estatuto de asociación sin fines de lucro, según lo dispuesto en la ley de 1901, y ha sido declarada de interés público. En 2016, dedicó 24 millones de euros a actividades internacionales en sus principales sectores de intervención: emergencias, seguridad alimentaria, desarrollo rural, acceso a servicios básicos, derechos humanos, desarrollo socio-económico y, por último, fortalecimiento de las capacidades de los socios. La organización SC-CF brinda apoyo en todos los continentes a organizaciones socias que se encargan de la ejecución del proyecto.
Fondée en 1967, Caritas Bangladesh est présente sur tout le territoire bangladais. Le partenariat avec le Secours Catholique-Caritas France a débuté au début des années 1990. Grâce à l’animation communautaire, l’ONG accompagne les populations
marginalisées et sans terre menacées par les catastrophes naturelles récurrentes.
Les universités et laboratoires de recherche, les OSC locales, nationales et sous-régionales ainsi que les autorités administratives et les organisations traditionnelles sont aussi impliqués dans le projet.
- 2 300 ménages augmentent leur production, leur diversité alimentaire et la commercialisation de leur production
- Les producteurs pratiquent l'agriculture durable, protègent la biodiversité, testent et diffusent des techniques d'adaptation au changement climatique
- Les populations autochtones ont un meilleur accès aux dispositifs d’aides sociales gouvernementaux, aux services aux agriculteurs et sont engagés dans un processus d’accès aux droits fonciers
- Les liens sont développés avec les OSC, pour promouvoir l'agroécologie au niveau local, régional et national, mais aussi avec le secteur de la recherche académique pour mener une recherche-action et diffuser les pratiques agroécologiques.
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