L’économie marocaine s‘est comportée de manière satisfaisante au cours des dernières années et ne présente pas de risque d‘investissement majeur à échéance de 3 à 5 ans. Les comptes extérieurs, le taux de change et la dette publique totale (66 % du PIB) ne montrent pas de tension sérieuse. Ce constat reflète aussi l’absence de dette extérieure nette et l’absorption réussie, en 2005, de chocs exogènes non-négligeables (pétrole, textile, sécheresse). En outre, cette économie volatile, à l’insertion internationale fragile, conserve des marges de manœuvre pour répondre efficacement à d‘éventuels nouveaux chocs (commerce extérieur, risque climatique, terrorisme, etc.). Le double excès d‘offre observé sur les marchés de facteurs (chômage et surplus d‘épargne) témoigne cependant d‘obstacles structurels à l’initiative privée, à l’investissement et à la croissance.
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