L’expérience du dernier partenariat public privé qu’a connu Energie du Mali (EDM) entre 2000 et 2005 est généralement considérée comme un « échec retentissant » de la part des entités publiques concernées, des bailleurs de fonds, des professionnels et de l’ensemble de la population malienne. Cette recherche s‘oppose à cette interprétation. Elle suggère que celle-ci est issue de lectures normatives et déformées qui occultent des processus complexes à l’œuvre.