Depuis 2000, des investissements dans les infrastructures et des partenariats stratégiques ont été réalisés, consolidant la rôle de Djibouti comme le point d'entrée en Afrique de l'Est. Le gouvernement a cherché à favoriser l'interconnexion des transports et le développement d’un cadre de régulation des professions issues de la filière transport-logistique-portuaire. Constituée d’environ 200 entreprises, elle génère aujourd’hui environ 15 000 emplois directs et indirects (soit 10% de la population active occupée). Le gouvernement a pour priorité d'intégrer les jeunes - 60 % des moins de 30 ans sont au chômage, en les formant selon les standards du secteur fort du pays.
Ce projet est issu d’un partenariat franco-djiboutien entre d’une part, la Chambre de Commerce de Djibouti (CCD) et le Port de Djibouti (PDSA), et d’autre part, l’Association pour le développement de la formation professionnelle Transport et Logistique (AFT) et l’Union des entreprises de Transport et de Logistique de France (TLF). La France partage notamment son expertise concernant l'articulation public-privé.