
Avec la fin de l’apartheid et l’élection de Nelson Mandela à la présidence de la République, une page a été tournée en Afrique du Sud. En 1994, environ 60 000 exploitants agricoles (blancs) occupaient quelques 87 millions d’hectares, tandis que 14 millions de Sud-Africains (Noirs), consignés dans les bantustans, se partageaient les 13 millions d’hectares restant (13 % du territoire national).
Comment corriger de telles inégalités héritées du passé ? En s’appuyant sur l’étude approfondie des transformations agricoles et foncières de quelques régions agricoles contrastées, cette étude tente de dresser le bilan de cette expérience de réforme agraire « assistée par le marché ». Le constat est sans appel : vingt ans plus tard, la structure foncière demeure presque inchangée, reflet d’un modèle de développement agricole lui-même non questionné. Que s’est-il passé ?
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