DEVENIR repose sur l’implication des différents acteurs de la lutte contre les MSF : la communauté, mais aussi l’école, les services de santé et tous les autres partenaires de la société civile. L’idée est d’avoir une approche globale qui permette le renforcement de l’engagement de tous en faveur de l’abandon des MSF, et plus généralement en faveur de la protection et la promotion de la santé des jeunes et des adolescents.
Ces derniers seront les premiers à être impliqués. En effet, le projet DEVENIR cherche à faire d’eux des acteurs de leur santé et de celle de leurs proches. A terme, ils joueront un rôle central dans l’évolution des opinions, des attitudes et des pratiques, notamment sur la pratique des MSF.
Enfin, l’amélioration de la qualité et de l’accès des services de santé de la reproduction des adolescents et des jeunes fait aussi partie du projet DEVENIR.
Face à la crise du Covid-19, Amref a orienté une partie des activités pour appuyer les structures de santé et réaliser des actions de prévention au niveau communautaire.
Fondée en 1957 au Kenya, l’Amref est une ONG africaine leader en santé publique. Elle se bat pour un accès équitable aux soins, avec une priorité donnée aux femmes et aux enfants. Nos 159 programmes de santé, déployés dans 35 pays et jusque dans les zones les plus isolées d’Afrique subsaharienne, se concentrent sur trois priorités : développer les personnels de santé, assurer l’accès à des services de santé de qualité et protéger les communautés les plus vulnérables d’Afrique.
Le projet a été défini et sera mis en œuvre en pleine collaboration avec le ministère de la Santé et de l’Action sociale du Sénégal, celui de l’Éducation nationale et celui de la Femme, de la Famille, du Genre et de la Protection de l’enfance.
Les autorités administratives, sanitaires et sociales de Sédhiou seront impliquées aux côtés des acteurs et organisations de la société civile partenaires.
En France, l’Amref s’associe aux activités de sensibilisation du réseau Excision parlons-en.
- 150 jeunes champions formés, dont 50 % de filles au minimum
- 100 leaders communautaires et coutumiers formés
- 30 professionnels de santé formés
- 25 anciennes exciseuses formées et appuyées dans leur projet de reconversion professionnelle
- Au moins 37 650 personnes participant aux activités de communication, dont au moins 60 % de filles/femmes
- Au moins 13 250 filles et jeunes femmes en âge de reproduction (0-14 ans et 15-19 ans) consultées et prises en charge
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