L’économie marocaine s‘est comportée de manière satisfaisante au cours des dernières années et ne présente pas de risque d‘investissement majeur à échéance de 3 à 5 ans. Les comptes extérieurs, le taux de change et la dette publique totale (66 % du PIB) ne montrent pas de tension sérieuse. Ce constat reflète aussi l’absence de dette extérieure nette et l’absorption réussie, en 2005, de chocs exogènes non-négligeables (pétrole, textile, sécheresse). En outre, cette économie volatile, à l’insertion internationale fragile, conserve des marges de manœuvre pour répondre efficacement à d‘éventuels nouveaux chocs (commerce extérieur, risque climatique, terrorisme, etc.). Le double excès d‘offre observé sur les marchés de facteurs (chômage et surplus d‘épargne) témoigne cependant d‘obstacles structurels à l’initiative privée, à l’investissement et à la croissance.
-
sur la même région
Vidéopublié en Décembre 2024Publications institutionnellesDocuments stratégiquespublié en Novembre 2024Publications institutionnellesFinancements et programmespublié en Novembre 2024Publications institutionnellesInfographiespublié en Novembre 2024Vidéopublié en Octobre 2024Publications institutionnellesCommunication financièrepublié en Octobre 2024 -
sur le même thème
Vidéopublié en Novembre 2024Publications institutionnellesBilans et rapports d'activitépublié en Novembre 2024Publications institutionnellesCommunication financièrepublié en Octobre 2024Document de recherchepublié en Août 2024Document de recherchepublié en Juin 2024Document d'évaluationpublié en Juin 2024 -
de la même collection
Document de recherchepublié en avril 2015Document de recherchepublié en Décembre 2014Document de recherchepublié en Décembre 2014Document de recherchepublié en Novembre 2014Document de recherchepublié en Octobre 2014Document de recherchepublié en Septembre 2014