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L’entraide en temps de crise
Projet
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Date de début du projet
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État
En cours
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Durée du projet
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32 mois
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Montant du financement AFD
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640 000 €
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Montant du financement global
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1 673 000 €
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Pays et Région
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Localisation
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France et International
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Type de Financement
Ce projet cherche à renforcer l’entraide et l’auto-organisation entre sinistrés avant l’arrivée des secours, et à améliorer l’articulation avec la première ligne de secours. Il s’agit d’augmenter les capacités de résilience des citoyens et leur capacité à s’entraider avant, pendant et après la crise, afin de réduire son impact. Cette phase a vocation à diffuser les connaissances au grand public ainsi qu’aux institutions impliquées dans la réponse.
Contexte
La fréquence, l’intensité et la nature des catastrophes changent. Les ruptures en cours (climatique, politique, etc.) questionnent les capacités des acteurs classiques de la réponse à intervenir. Il a aussi été montré que les populations exposées, non préparées ni formées à vivre ces ruptures, s’entraident et s’organisent de manière informelle. Mais les acteurs humanitaires et les secours ne s’appuient pas, ou peu, sur ce potentiel, et ce faisant fragilisent ces dynamiques.
Ce projet a pour ambition de renforcer les capacités et la volonté de s’entraider en temps de crises par la prise de conscience, l’expérimentation et la compréhension des phénomènes d’entraide spontanés, et des façons de les soutenir pour les différentes parties prenantes. Il s'appuie sur une série d'études de cas réalisées en France et à l'international, et se concentre sur la diffusion de leurs résultats.
Groupe URD
Le Groupe URD étudie et documente l’évolution du secteur humanitaire et de la reconstruction post-crise, sa structuration institutionnelle, les enjeux de qualité de l’aide, de la compréhension des contextes et des problématiques d’intervention. Ses travaux s’adressent aussi bien aux organisations de la société civile française, qu’aux bailleurs de fonds, aux institutions internationales et nationales, aux agences des Nations unies et aux ONG. Les activités exercées s’alimentent les unes les autres et stimulent l’apprentissage collectif via six axes : appui stratégique, études et recherche, évaluation, outils et méthodes, appui organisationnel et formation.
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