
Contexte
La transition énergétique est un défi et un impératif pour la transformation économique du Mexique :
- D’une part, le pays dépense 7,6% de son PIB en subventions aux combustibles fossiles ;
- D’autre part, en 2020, l’impact économique des catastrophes climatiques a, d’après les estimations, augmenté de 202%.
Pour réussir sa transition énergétique et assurer une croissance durable, le Mexique doit moderniser son secteur de l’énergie, réduire sa dépendance aux combustibles fossiles et garantir la soutenabilité de son économie. Il est nécessaire de s’appuyer sur les territoires, d’impliquer les communautés dans la co-construction de la résilience et le renforcement des chaînes locales de production. Les modèles communautaires et coopératifs jouent un rôle essentiel dans la promotion de la création d’entreprises collectives gérées de manière démocratique et solidaire.
Les coopératives énergétiques constituent un cas d’application de transition équitable. Il s’agit d’un modèle prometteur d’implication des communautés locales dans la production, la distribution et la consommation d’énergies renouvelables, en promouvant la décentralisation et la démocratisation de l’énergie, en particulier dans les territoires historiquement et systématiquement exclus.
Cependant, les recherches menées au Mexique durant la première phase de la Facilité de recherche sur les inégalités ont montré un faible partage des richesses et une mobilité sociale limitée dans le pays. Dans ce contexte, il est nécessaire d’aborder la transition énergétique juste à partir d’une approche de mobilité sociale intergénérationnelle et d’une perspective sociale pour assurer des bénéfices à l’ensemble de la société.
Ce projet s’inscrit dans le cadre de l’Extension de la Facilité de recherche UE-AFD sur les inégalités. Coordonnée par l’AFD et financée par la Commission européenne, l’Extension de la Facilité contribuera à l’élaboration de politiques publiques visant à réduire les inégalités dans quatre pays : l’Afrique du Sud, le Mexique, la Colombie et l’Indonésie, sur la période 2021-2025.
Ce travail s’inscrit également dans le cadre du dialogue de l’AFD avec les autorités mexicaines sur les options de diversification de l’économie et de réduction des inégalités.
Objectif
En partenariat avec le Centro de Estudios Espinosa Yglesias (CEEY) et en collaboration avec l’Institut national d’économie sociale (INAES), ce projet de recherche vise à développer une contribution conceptuelle et analytique pour mieux comprendre le rôle que les coopératives d’énergie renouvelable peuvent jouer dans la réduction des inégalités et l’amélioration de la mobilité sociale, et comment elles peuvent être financées.
Ce projet doit permettre de :
- Conceptualiser l’approche de la transition énergétique juste dans le domaine des inégalités structurelles existantes ;
- Etablir un diagnostic des coopératives d’énergie et les énergies renouvelables à propriété sociale, dans la perspective de la mobilité sociale intergénérationnelle, de l’économie sociale et solidaire, et en terme de pertinence dans le cadre de transitions justes ;
- Utiliser ce diagnostic pour proposer des critères d’identification, de sélection et de priorisation des projets qui priorisent les populations les plus désavantagées à l’origine (avec le moins d’espoir de mobilité sociale), compte tenu de l’exigence « pas de perdants » de la transition juste ;
- Examiner les questions techniques liées à l’énergie décentralisée et à la production distribuée, compte tenu de leur importance dans l’économie sociale pour une transition énergétique juste ;
- Examiner les projets actuels de l’INAES liés au sujet, afin, le cas échéant, d’orienter l’élaboration des critères d’identification et de sélection.
Méthode
L’équipe de recherche procédera d’abord à une revue exhaustive de la littérature portant sur la justice environnementale, la justice climatique, la mobilité sociale appliquée à la justice environnementale et la justice environnementale intergénérationnelle. La littérature sera analysée sous l’angle de la transition énergétique et du croisement de ces enjeux.
Sur la base de cette revue de littérature, les chercheurs développeront un cadre conceptuel pour comprendre la transition énergétique juste dans le domaine des inégalités structurelles actuelles. Ils expliqueront également comment ce cadre conceptuel peut être pertinent pour la prise de décisions en matière de politiques publiques.
L’équipe de recherche identifiera également les lacunes en matière d’information et les besoins en matière de recherche, en mettant un accent particulier sur l’étude des transitions énergétiques justes.
Résultats
Vous trouverez ci-dessous les différents documents de recherche liés à ce projet :
En cours
Contact :
- Anda David, chargée de recherche à l'AFD et coordinatrice scientifique de la Facilité UE-AFD de recherche sur les inégalités

Contexte
L’intégration commerciale a été très bénéfique pour l’Amérique latine et les Caraïbes (ALC) au cours des trente dernières années. Cependant, de multiples crises (la crise financière de 2008, la pandémie de Covid-19, la crise climatique, etc.) ont questionné l’avenir du système commercial multilatéral. Par exemple, la pandémie de Covid-19 a mis en évidence la fragilité de certaines chaînes de valeur en raison de l’éloignement entre les usines de production et le lieu de consommation. Cela conduit à raccourcir certaines chaînes de valeur mondiales, à les rendre moins globales et plus régionales – un phénomène connu sous le nom de « near-shoring ». Ce nouveau contexte crée une opportunité pour les pays de l’ALC, et en particulier pour le Mexique, qui s’identifient comme la meilleure alternative pour la relocalisation des chaînes de valeur dans le modèle de « near-shoring ».
Historiquement, ce sont les États du centre-nord du Mexique qui ont le plus bénéficié des processus d’intégration dans les chaînes de valeur mondiales : c’est là, à proximité des États-Unis, que se trouve la base d’exportation de l’industrie manufacturière. Par ailleurs, le Sud Sud-Est du pays présente des retards historiques qui ont freiné son intégration dans les chaînes de valeur mondiales, et limitent aujourd’hui sa capacité à tirer parti du nouveau contexte international.
Ainsi, il est nécessaire, lors de la conception des stratégies pour tirer parti de l’opportunité offerte par le « near-shoring », de tenir compte des spécificités de chaque région. Cette approche sur-mesure est essentielle pour définir des politiques publiques qui favorisent un développement régional plus équitable.
Ce projet s’inscrit dans le cadre de l’Extension de la Facilité de recherche UE-AFD sur les inégalités. Coordonnée par l’AFD et financée par la Commission européenne, l’Extension de la Facilité contribue à l’élaboration de politiques publiques visant à réduire les inégalités dans quatre pays : l’Afrique du Sud, le Mexique, la Colombie et l’Indonésie sur la période 2021-2025.
Ce projet de recherche complète les travaux menés par l’Extension de la Facilité de recherche sur les inégalités au Mexique sur le système national de soins et sur l’impact redistributif des politiques environnementales.
Objectif
Ce projet vise à approfondir l’étude du « near-shoring » au Mexique, en identifiant les défis et les opportunités qu’il génère :
- Premier objectif spécifique : établir une proposition pour surmonter l’un des goulots d’étranglement les plus critiques identifiés par le secteur productif, à savoir la production d’électricité. Il est suggéré de combler le déficit d’investissement dans l’électricité à court terme, par des investissements dans la production distribuée avec des panneaux solaires, ainsi que d’explorer des options durables et équitables, en étudiant particulièrement l’État de Nuevo León (nord du pays).
- Deuxième objectif spécifique : identifier les secteurs économiques susceptibles de tirer parti du « near-shoring » et combler les lacunes existantes dans la formation des compétences et du capital humain, en mettant l’accent sur l’inclusion sociale et l’égalité entre les femmes et les hommes. Cela comprendra une analyse détaillée pour les États d’Oaxaca et de Veracruz (sud du pays), afin de développer les compétences dans les secteurs émergents et traditionnels, et de préparer la main-d’œuvre à tirer parti des opportunités à moyen et long terme.
- Troisième objectif spécifique : élaborer un plan stratégique pour la mise en œuvre d’un portefeuille de solutions, basé sur les recommandations identifiées dans le premier et le deuxième objectifs spécifiques.
Méthode
- Premier objectif spécifique : l’analyse de scénarios sera utilisée pour mesurer l’écart entre la demande et la capacité de production d’électricité. Les scénarios de capacité de production solaire distribuée utiliseront des outils d’analyse spatiale des systèmes d’information géographique, tandis que les estimations sur la redirection des subventions seront tirées de sources publiques officielles.
- Deuxième objectif spécifique : générés à partir d’une combinaison de bases de données internationales et nationales, les indicateurs économiques seront utilisés pour identifier les opportunités de stimuler la diversification de la production électrique. Une analyse préliminaire suggérera les grappes industrielles à prioriser. Cela permettra de sélectionner des secteurs économiques susceptibles de déclencher un développement industriel, par le biais d’interventions dans le domaine de la formation professionnelle. Les écarts de compétences seront identifiés au moyen d’une analyse quantitative. Cette analyse documentaire sera complétée par des informations qualitatives (entretiens, groupes de discussion avec les acteurs clés…).
- Troisième objectif spécifique : le plan stratégique suivra une approche axée sur la mission (‘mission economy’) et inclura un plan d’action détaillé qui sera présenté au gouvernement fédéral mexicain. Le plan comprendra une carte des unités d’exécution possibles au sein des gouvernements fédéraux, régionaux ou municipaux, et une analyse des potentielles contraintes réglementaires et institutionnelles, ainsi que des alternatives stratégiques pour les surmonter.
Résultats
Vous trouverez ci-dessous les différents documents de recherche liés à ce projet :
En cours
Contact :
- Anda David, chargée de recherche à l'AFD et coordinatrice scientifique de la Facilité

Contexte
Comme l’indique une étude récente, les inégalités et la pauvreté en Colombie ont augmenté ces dernières années, surtout après la pandémie de Covid-19. La détérioration de ces indicateurs place la Colombie parmi les pays les plus inégalitaires au monde. Le diagnostic multidimensionnel des inégalités en Colombie montre également que les écarts entre les hommes et les femmes sont particulièrement marqués dans le pays. En effet, les taux d’emploi des femmes sont plus faibles que ceux des hommes à tous les niveaux de scolarité. Par exemple, en 2020, alors que le taux d’emploi des femmes sans qualification atteignait 31 %, celui des hommes était de 65 %.
Dans ce contexte, le gouvernement colombien s’est engagé à réduire les écarts entre les groupes de population et entre les territoires et a identifié la réduction des écarts entre les hommes et les femmes comme l’une de ses priorités. Il est ainsi essentiel de mieux comprendre les déterminants des inégalités les solutions possibles, et d’identifier les moyens par lesquels les politiques publiques, sociales et budgétaires peuvent les réduire.
Afin d’accompagner le gouvernement colombien dans l’élaboration de politiques publiques visant à réduire les inégalités, la Facilité de recherche UE-AFD sur les inégalités, en étroite collaboration avec les centres de recherche locaux et les autorités nationales, a déjà :
- Elaboré le diagnostic multidimensionnel sur les inégalités et produit des statistiques sur les inégalités avec le département national de la Statistique (DANE). Le diagnostic est un panorama statistique des inégalités sous de multiples angles, qui vise à éclairer les décisions publiques en fournissant des informations-clés pour la réduction des écarts les plus importants dans le pays.
- Réalisé une analyse de l’incidence fiscale basée sur la méthodologie Commitment for Equity (CEQ), et, en étroite collaboration avec le ministère des finances, élaboré un outil permettant d’évaluer l’impact sur les inégalités de la dernière réforme fiscale dans le pays, par micro-simulations.
Ces deux études ont ouvert la porte à de nouveaux sujets d’analyses pour fournir au gouvernement colombien des données, des informations et des connaissances pertinentes pour renforcer la conception, la mise en œuvre et le suivi des instruments politiques susceptibles de réduire les inégalités et les écarts entre les groupes de population, en premier lieu la politique fiscale et les dépenses sociales.
Ce projet s’inscrit dans le cadre de l’Extension de la Facilité de recherche UE-AFD sur les inégalités. Coordonnée par l’AFD et financée par la Commission européenne, l’Extension de la Facilité contribue à l’élaboration de politiques publiques visant à réduire les inégalités dans quatre pays : l’Afrique du Sud, le Mexique, la Colombie et l’Indonésie sur la période 2021-2025.
Objectif
Ce projet de recherche utilisera des méthodologies novatrices pour combiner les informations issues d’enquêtes, de bases de données et de dossiers administratifs pour mieux comprendre les impacts des mesures budgétaires et des dépenses du gouvernement colombien sur la réduction des écarts entre les hommes et les femmes, et plus généralement, pour renforcer l’analyse des mesures d’inégalité des revenus en Colombie.
Cette étude vise également à renforcer les capacités internes colombiennes, permettant de continuer à produire des rapports et de nouvelles mesures et analyses des inégalités, afin d’alimenter la conception de politiques publiques plus justes dans le pays.
Méthode
Le projet de recherche :
- Élaborera une méthodologie d’analyse des répercussions des mesures budgétaires et de dépenses gouvernementales sur la réduction des écarts entre les hommes et les femmes et des inégalités de revenus en Colombie, à partir de l’outil CEQ;
- Déterminera les composantes méthodologiques et opérationnelles nécessaires qui seront mises à jour périodiquement par les différents décideurs publics concernés ;
- Élaborera une batterie d’indicateurs de l’impact des politiques fiscales et budgétaires sur les écarts de revenu entre les hommes et les femmes.
L’analyse utilisera des enquêtes, des bases de données sur l’offre et la demande de programmes sociaux, ainsi que des dossiers administratifs et des renseignements fiscaux de personnes physiques. Ces données seront intégrées dans un modèle CEQ et serviront de base à mise en oeuvre de l’approche genre et aux analyses qui seront effectuées dans le cadre de cette recherche.
Tout au long de la recherche, des groupes de travail seront organisés avec le département national du Plan, le département administratif national des Statistiques, la direction nationale des Impôts et des Douanes et d’autres intervenants impliqués dans le développement conceptuel et méthodologique de la recherche, l’analyse des résultats et l’application de l’outil aux processus stratégiques.
Résultats
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En cours
Contact :
- Anda David, chargée de recherche à l'AFD et coordinatrice scientifique de la Facilité

Contexte
Avec un taux de chômage des jeunes parmi les plus élevés au monde, l’Afrique du Sud doit prendre en compte, pour sa trajectoire de transition juste, les vulnérabilités de ses cohortes de jeunes, en particulier celles qui peuvent être qualifiées de « non scolarisées, sans emploi ni formation » (Not in Education, Employment or Training – NEET). Par exemple, une étude récente menée dans le cadre de la Facilité de recherche UE-AFD sur les inégalités a révélé que le taux de jeunes NEET était de plus de 37% au cours de la dernière décennie dans la province de Mpumalanga, la région la plus exposée à la sortie du charbon, avec près des trois quarts des jeunes NEET vivant dans des ménages pauvres.
Depuis 2019, l’Initiative nationale pour les entreprises (National Business Initiative – NBI) est à l’avant-garde d’un partenariat multisectoriel qui vise à élargir et à développer les voies d’accès des jeunes aux professions d’installation, de réparation et d’entretien (Installation, Repair and Maintenance – IRM). L’initiative IRM est stratégiquement alignée sur diverses initiatives du gouvernement pour stimuler une reprise inclusive et la revitalisation de l’économie, en particulier après la pandémie de Covid-19. Cette initiative a par la suite été incorporée dans l’Intervention présidentielle pour l’emploi des jeunes (Presidential Youth Employment Intervention – PYEI). L'initiative part du principe qu'en aidant les entrepreneurs IRM basés dans les localités à renforcer et à développer leurs entreprises et en les mettant en relation avec les opportunités du marché local, il y aura une augmentation concomitante de la demande de main-d'œuvre qualifiée, et de nouvelles opportunités d'emploi. Il s'agit ainsi d'une réponse directe au problème du chômage des jeunes.
En étroite collaboration avec la NBI, le Centre REAL a apporté son expertise à l’analyse complète des quatre régions clés identifiées dans la phase 1 du projet de cartographie des écosystèmes de compétences IRM : Atlantis (Western Cape), Mandeni (KwaZulu-Natal), Mamelodi (Gauteng) et Kathorus (Gauteng). Fort du succès de cette première phase, le Centre REAL étendra désormais la portée du projet à la municipalité du district de Nkangala, l’un des trois districts de la province de Mpumalanga.
Ce projet s’inscrit dans le cadre de l'Extension de la Facilité de recherche UE-AFD sur les inégalités. Coordonnée par l’AFD et financée par la Commission européenne, l’Extension de la Facilité contribuera à l’élaboration de politiques publiques visant la réduction des inégalités dans quatre pays (Afrique du Sud, Mexique, Colombie et Indonésie) sur la période 2021-2025.
Ce travail s’inscrit également dans le cadre du dialogue entre l’AFD et les autorités sud-africaines sur la transition juste et la réduction des inégalités.
Objectif
Ce projet de recherche permettra d’effectuer une analyse détaillée de l’écosystème des compétences qui pourrait alimenter les différentes initiatives visant à soutenir les autorités locales et les communautés du district de Nkangala, qui concentre les centrales électriques au charbon qui seront fermées du fait des politiques de transition juste.
La phase 1 du projet a révélé que la cartographie écosystémique des compétences IRM est cruciale pour lutter contre les inégalités car elle permet d’analyser en profondeur les profils socio-économiques et démographiques de diverses communes d’Afrique du Sud.
En identifiant les lacunes spécifiques en matière de compétences et en comprenant les défis auxquels sont confrontées les petites et moyennes entreprises (PME) dans ces domaines, la cartographie peut, en effet, éclairer des interventions ciblées visant à réduire les inégalités dans l’accès à l’emploi et aux opportunités économiques.
De plus, en examinant le rôle des établissements d’enseignement et de formation techniques et professionnels (Technical and Vocational Education and Training institutions – TVET) et en effectuant une analyse documentaire exhaustive, l’étude garantit que les interventions proposées soient fondées sur des données probantes et adaptées aux besoins des communautés étudiées.
Enfin, l’étude s’attachera, en collaboration avec les parties prenantes, à produire des informations exploitables : cette approche doit permettre de générer un impact significatif et de promouvoir un développement économique inclusif dans les régions mal desservies, contribuant ainsi aux efforts visant à réduire les inégalités, à s’engager dans une transition juste et à favoriser une société plus inclusive.
Méthode
En s’appuyant sur la phase 1 de la cartographie des compétences de l’écosystème IRM, les chercheurs appliqueront la méthode suivante :
- Ils établiront le contexte du district de Nkangala au moyen de recherches documentaires et d’entretiens avec des partenaires clés dans le secteur privé et dans le secteur de l’éducation ;
- Ils collecteront des données primaires et mettront en place un travail de terrain par le biais d'ateliers de cartographie avec les parties prenantes et d'entretiens avec des informateurs clés pour collecter des données ;
- Ils fourniront ensuite un premier état des lieux de l’écosystème global des compétences locales à partir de l’exercice de cartographie du site et s’appuieront sur les études de documents et sur le travail contextuel mené dans le district de Nkangala. Dans la lignée des travaux de Spours (2019) sur les écosystèmes, ils utiliseront trois éléments de base : les dimensions des verticalités, des horizontalités et de la médiation pour comprendre et analyser l’écosystème des compétences du district de Nkangala et pour guider l’analyse inter-sites, en se basant sur les travaux entrepris au cours de la phase 1.
Résultats
Vous trouverez ci-dessous les différents documents de recherche relatifs à ce projet :
En cours
Contact :
- Anda David, chargée de recherche à l'AFD