Les économies ultramarines sont-elles peu ouvertes, comme on l’entend traditionnellement en corollaire à la stratégie d‘import-substitution ? Quels sont les indicateurs disponibles à cet égard ? Comment peut-on caractériser au mieux leur trajectoire de croissance, du point de vue de l’articulation entre la demande interne et la demande externe ? Ensuite, quelles doivent être les modalités de cette ouverture accrue, compte tenu des contraintes subies par ces économies, qu’il s‘agisse de contraintes naturelles ou de celles « man made » qu’impose le statut du rattachement politique à la France ? La stratégie d‘ouverture peut-elle ou doit-elle constituer une alternative à la politique traditionnelle de l’import-substitution, ou au contraire venir en complément de cette dernière ? Quelles en sont les implications pour la politique économique et commerciale ? Enfin, quelles sont les perspectives objectives d‘accélération de la croissance rendues le cas échéant possibles par une plus grande ouverture ?
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